J’entends déjà Nini se marrer… Sans parler de Phany.
L’eau à Beyrouth, et au Liban en général de ce que j’ai compris pour l’instant, n’est pas potable au robinet. Une histoire de nappe trop proche de la mer, de pompage excessif et de porosité.
A titre purement personnel j’ajouterai un entretien (voire une création) d’un réseau de distribution plus que précaire et surtout d’intérêts financiers très probables.