Après presqu’un mois de silence la famille Libanaise d’adoption est de retour.
Il faut dire que les activités se sont enchaînées et que le temps disponible pour un article s’est fait plus rare. Pour ce nouveau départ laissez moi vous parler d’un côté fascinant du Liban : le paradoxe. Comme dit une amie Beyrouthine « Le Liban tu l’aimes et il t’énerve en même temps » (je crois déjà l’avoir dit dans un article précédent, la mémoire me fait défaut).
Pour illustrer cet article, je vais démarrer sur le paradoxe de la construction.
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